Yep. Like one of my brothers and the current Pope, I think I am a cat lover. I once dreamt I had a cat... a little gray-tigerish one. He seemed very much alive and real. His presence just made me happy.
I wasn't so happy when I woke up. Though there never was an actual cat, the feeling I had for it were very real. It's one of those trick our brain plays on us from time to time. Though are dreams and nightmares are just some weird montage of our memories and experiences, the feelings with get from them aren't as made up.
To this day, I'm still pissed I never had that cat.
Anyway, considering that my girlfriend has asthma and cat allergies, I doubt I'll ever have one.
I'll just have to settle for having a dog with whool-like hair, like my stepmother's:That's him has a baby... he did grow up to look like this:
Which is just as cute. So.. .well... if I can't have a cat... this is probably the next best thing....
Until that day though, I'll probably buy myself a new betta fish...
mardi 29 avril 2008
vendredi 25 avril 2008
Je souffre.
Comme pour un accouchement, c'est par la douleur que s'ouvre mon blogue. Oui, je souffre. Ayant plutôt pas mal beaucoup de temps à perdre ces jours-ci, j'en ai profité pour me garder en forme et faire quelques exercices, question que mon corps ne devienne pas tout flasque à 26 ans.
Comme je danse beaucoup moins qu'avant, et que les muscles de mes jambes ne sont plus fait en acier, j'en profite pour m'étirer allègrement, comme je n'ai jamais pris la peine de le faire.
Et bien maintenant je regrette. Jeudi matin, le lendemain d'un bon étirement, je me suis pencher pour ramasser mon pantalon... et je pense pas m'être relever depuis: le bas de mon dos ne s'en est pas remis. J'ai peine à me déplier, tout mouvement qui demande l'utilisation d'un muscle relié au sacrum me fait souffrir (et je vous assure que ces muscles sont particulièrement essentiels à la vie de tous les jours).
Tout allait mieux ce matin, la douleur était pratiquement disparu. Jusqu'à ce que j'éternue. Atchaaa! Et boum, la voilà revenue de plus belle. Je peux à peine bouger, et je dois me servir des murs pour marcher droit.
Finalement, je ne suis pas mou du tout... ou plutôt mon dos est aussi rigide que celui d'un vieillard de 90 ans.
Comme je danse beaucoup moins qu'avant, et que les muscles de mes jambes ne sont plus fait en acier, j'en profite pour m'étirer allègrement, comme je n'ai jamais pris la peine de le faire.
Et bien maintenant je regrette. Jeudi matin, le lendemain d'un bon étirement, je me suis pencher pour ramasser mon pantalon... et je pense pas m'être relever depuis: le bas de mon dos ne s'en est pas remis. J'ai peine à me déplier, tout mouvement qui demande l'utilisation d'un muscle relié au sacrum me fait souffrir (et je vous assure que ces muscles sont particulièrement essentiels à la vie de tous les jours).
Tout allait mieux ce matin, la douleur était pratiquement disparu. Jusqu'à ce que j'éternue. Atchaaa! Et boum, la voilà revenue de plus belle. Je peux à peine bouger, et je dois me servir des murs pour marcher droit.
Finalement, je ne suis pas mou du tout... ou plutôt mon dos est aussi rigide que celui d'un vieillard de 90 ans.
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